•  

    Rire, c'est risquer de paraître idiot.

    Pleurer, c'est risquer de paraître sentimental.

    Aller vers quelqu'un, c'est risquer de s'engager.

    Exposer ses sentiments, c'est risquer d'exposer son moi profond.

    Présenter ses idées, ses rêves à la foule, c'est risquer de les perdre.

    Aimer, c'est risquer de ne pas être aimé en retour.

    Vivre, c'est risquer de mourir.

    Espérer, c'est risquer de désespérer.

    Essayer, c'est risquer d'échouer.

     

    Mais il faut prendre des risques car le plus grand danger dans le vie,

    C'est de ne rien risquer du tout.

     

    Celui qui ne risque rien ne fait rien, n'a rien, n'est rien.

    Il peur éviter la souffrance et la tristesse,

    Mais il n'apprend rien, ne ressent rien,

    Ne peut ni changer, ni se développer,

    Ne peut ni aimer, ni vivre.

    Enchaîné par sa certitude, il devient esclave, il abandonne sa liberté.

     

    SEULS CE QUI RISQUENT SONT LIBRES.

     


    1 commentaire
  •  


    votre commentaire
  • Vis un jour à la fois.

    N'essaie pas de te précipiter en avant,

    Plein de projets pour demain,

    Car demain ne viendra peut-être jamais.

    Jouis pleinement d'aujourd'hui,

    Apprécie le comme si c'était ton dernier jour.

    Fais toutes les choses merveilleuses auxquelles tu aspires,

    Non pas négligemment, ni distraitement mais avec une joie réelle.

    Soit comme un petit enfant qui n'a pas une pensée pour demain,

    Et qui a oublié ce qui est arrivé hier.

    mais vis simplement comme si le seul moment qui importait était maintenant.

    Maintenant est le moment le plus passionnant que tu aies jamais connu,

    Alors n'en manque pas une seconde,

    Vis en étant vigilant.

    Tout peut arriver à tout moment.

    Si tu vis de cette manière, tu es prêt,

    Et ouvert à tout ce qui peut se passer.


    votre commentaire

  • votre commentaire
  • L'mineur s'plaint point de s'sort

    Détiqu'el carbon in cantant,

    Sans avoir peur d'el mort,

    Qui l'giêtt à tout instant.

     

    I sait qu'aud'zeu de s'tiète,

    Faut du carbon pour l'machine,

    Pou s'famille, sin bin ête,

    A s'zinfants faut des tartines.

     

    Mais combien d'chés vaillants

    Ont péri d'in l'tro noir

    Sont morts sans dir' ar'voir ?

    S'pic à s'main, comm' el soldat

    Qui meurt sul' camp d'honneur,

    Qui l'dernière pinsée au jour s'in va :

    V'LA L'VIE, MES GINS, DU MINEUR

     

    d'Aimable Lucas

    poète patoisant du Nord de la France


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires